Mon histoire
Jonathan Sabatier, c’est qui ?
J’ai fait un BTS en Informatique, j’ai travaillé en tant qu’assistant commercial chez Kenzo parfums, puis j’ai continué mes études dans le webmarketing pour atterrir (après 8 mois de chômage) chez Publicis. J’ai vite pu prendre en charge une dizaine de personnes. Et en 2016, avec ma chérie, on part vivre à Montréal. Nous revenons 6 ans plus tard en France, avec 2 enfants.
Et au retour, je me suis lancé en tant que photographe et vidéaste à temps plein. Aujourd’hui je gagne moins que lorsque j’étais employé. Et en même temps, j’ai plus de temps libre, je m’occupe davantage de mes enfants.
Je m’appelle Jonathan (prononcez à l’américaine), et vous pouvez m’appeler Jon.
C’est toujours un peu le moment qui flotte et en même temps je pense que c’est important de savoir qui on a en face.
Je suis un hypersensible, joyeux et curieux. J’adore savoir comment une machine fonctionne, quel métier vous faites, comment vous allez, etc. Mon super pouvoir: les gens me font confiance rapidement. Jamais compris pourquoi cela dit haha
C’est grâce à mon père que j’ai commencé dans l’image. Il travaillait chez Air France alors nous avons pu beaucoup voyager et il emportait toujours tout son matos: appareil photo et caméra.
Mon premier appareil photo ? Je l’ai eu à mon Noel de 1997. Et c’était un vrai où fallait que je change moi-même les pellicules, etc.
Tout cela pour dire que j’adore ça. Alors n’hésitez pas à me contacter pour qu’on discute de votre projet, ça me fera plaisir d’échanger avec vous !
Pourquoi je fais ça ?
Merci Léa
Tout ce travail de garder et créer des souvenirs je le fais et je l’ai toujours fait. J’étais le gars qui prenait des souvenirs, faisait un montage vidéo. Et petit à petit, j’essayais de trouver et comprendre de nouvelles techniques, trouver de nouvelles idées.
Cette notion de partage, de transmission est hyper importante pour moi. Que ce soit les photos et/ou vidéos évidemment, et aussi les traditions, l’éducation, etc. Et ces souvenirs que je vous propose c’est un peu ma pierre à l’édifice dans votre histoire.
